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Dîner chez Cesar
Après cette journée à la plage (heureusement j'avais emmené de la lecture parce-que c'est trop dur de ne rien faire : on n'est pas habitués aux vacances dans ma famille, mes soeurs sauront de quoi je parle !), j'avais faim, très faim, parce que de la journée je n'avais avalé qu'un café le matin à Moriani en faisant le plein, et une salade saupiquet achetée avec une fourchette au SuperU d'Allistro, en revenant de Corte la veille.
Alors je suis retournée manger chez César, au bord de la mer, sur une autre plage.
Cette fois je n'ai pas demandé un café à la fin du repas parce-que je savais que César et son serveur (dont je ne connais pas le nom) auraient encore insisté pour me l'offrir. Mais ils ne m'ont pas demandé mon avis : ils ont apporté un café, une myrthe et une part de gâteau ! César m'a dit "comme ça quand vous reviendrez, vous saurez où aller et je vous trouverai où vous loger, pas besoin d'aller vous cacher à Verdese !" J'ai répondu : "vous saurez où aller si vous passez par le 9.3. (lire : neuf trois). Mais il y a aussi peu de chance qu'ils viennent dans le 93 que moi de retourner en Corse.
En rentrant à Verdese, j'ai attrapé un coucher de soleil :
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